Jour après jour avec Père Cestac : FEVRIER

FEVRIER : le Travail

1.  L’esprit de pauvreté vous tiendra toujours comme de vraies Servantes de Marie dans le travail.


2.  Même en récréation, faites toujours quelque chose. Votre travail peut être alors plus simple, mais ne l’abandonnez jamais.


3.  Le travail unique ressource de la communauté dans ses immenses besoins.


4.  Notre divine Mère veut que le travail de ses pauvres Servantes soit reconnu par ceux qui peuvent et doivent le reconnaître.


5.  Nous devons redoubler de zèle et de dévouement, pour gagner notre pain et le pain de ces enfants à la sueur de notre front.


6.  Un travail fort et continuel qui développe les corps et fortifie les âmes.


7.  Marie, vous n’appelez aucune fortune dans votre œuvre, vous ne voulez que le dévouement au travail. Ce travail vous le bénissez ; quand il ne suffit pas, vous y suppléez, ou par des miracles, ou par des charités, qui viennent en aide au travail, mais qui n’en dispensent jamais.


8.  Les sables fécondés par le travail sont devenus une touchante oasis.


9.  Recueillies dans une maison d’accueil, les orphelines sont formées à l’amour du travail.


10.  La Congrégation se sent appelée, en allant dans les campagnes, à répandre avec l’instruction, l’amour du sol et du travail.


11.  C’est le silence, le travail et la prière qui sont les moyens de régénération.


12.  Les temps sont difficiles, la communauté très nombreuse ; et cependant nous marchons et les choses se font sans trop de gêne, quoiqu’avec un travail continuel et très dévoué.


13.  Dans la communauté, chacun doit travailler selon son pouvoir pour aider et se rendre utile au bien général.


14.  Je demande que les Sœurs soient assujetties à un travail raisonnable, bien consciencieux mais qui n’excède pas leurs forces.


15.  Les pénitentes devaient être appliquées aux travaux agricoles.


16.  Les Servantes de Marie portent avec elles cet amour des travaux de la terre qu’elles sont heureuses d’entretenir dans les populations rurales.


17.  C’est surtout par les travaux agricoles que les Servantes de Marie, dirigeant elles-mêmes les pauvres filles repenties, trouvent dans la culture des champs les ressources pour pourvoir à leurs besoins.


18.  Il fallait essayer, surtout pour un établissement basé sur une idée neuve et qui n’avait pas encore été réalisé : l’application de ces filles aux travaux agricoles.


19.  Ne soyez pas étonné que la Servante de Marie soit économe et laborieuse, ce n’est pas pour elle-même qu’elle travaille, c’est pour les œuvres de miséricorde qui lui sont confiées.


20.  Chacun doit travailler dans la communauté, les Sœurs ne sont pas reçues pour être l’objet de la charité.


21.  La très Sainte Vierge permet que l’on retire un prix légitime du travail, mais ce ne doit être qu’une vue secondaire et tout à fait subordonnée à la grande vue de la gloire de Dieu.


22.  Notre fondateur prit pour lui-même et imposa comme règle de ne jamais rien demander mais de puiser sa vie, réduite au simple nécessaire, dans le travail et la prière.


23.  L’œuvre ne veut s’enrichir, mais elle est heureuse de faire le bien, de vivre de son travail sans rien demander à personne.


24.  Il est juste que les sœurs soient rétribuées selon leur peine et que ce qu’elles gagnent de leur travail serve à nourrir la famille d’orphelines, de pénitentes, de malades, etc.


25.  Chacune sera appliquée selon ses aptitudes ou aux études, ou aux travaux d’aiguille ou même, pour celles qui y auraient été habituées, aux travaux des champs.


26.  Apprenez-leur que la grande et continuelle pénitence, c’est le travail de chaque jour.


27.  La communauté a besoin d’un grand nombre de Sœurs pour les nécessités de l’œuvre à qui le travail a été donné pour unique moyen de subsistance ou à peu près.


28.  Si quelque chose restait de son travail et de son dévouement, la Servante de Marie ne serait-elle pas heureuse d’offrir quelque chose de ses économies pour ces pauvres infortunées recueillies dans l’œuvre.